Domaine des Comtes Lafon Meursault Perrières 1er Cru 2011

Robe : Dorée brillante.

Nez : Profondeur et élégance, avec des arômes d’amande fraîche, le citron confit, la pêche blanche.

Bouche :  Equilibrée, harmonieuse, dense, riche et ample mais parfaitement équilibré grâce à une acidité qui dynamise la structure. Très belle longueur avec cette note de fraîcheur qui rend le vin savoureux.

Accords mets et vins : Poissons en sauce crémeuse, Turbot à la moutarde, Raie au beurre noir. Mais aussi avec des fromages bleus, stilton, roquefort.

744,00  TTC

3 en stock

Catégorie : Étiquettes : , , , , , , ,
Poids 1,2 kg
Dimensions 16,6 × 14,1 × 38,5 cm
Producteur

Appellation

Pays

Régions

Sous-Région

Couleur

Millésime

Cepage

Bio/Biodynamie

Sucrosité

Contenance

Volume d'alcool

Potentiel de garde

Conditionnement

Pierre et Henri Lafon, l’intérêt qu’ils portèrent au domaine constitué par leur père fut modeste. Après le décès prématuré de Pierre en 1944, Henri entreprit clairement de vendre le domaine. René Lafon, fils de Pierre, bien qu’à cette époque travaillant et habitant à Paris, s’opposa à cette démarche. Au cours de cette période incertaine pour l’avenir du domaine, le vignoble est exploité pour l’essentiel en métayage. Après son intervention déterminante pour éviter le démembrement des vignes, René Lafon reprend le domaine en 1956. En collaboration avec les métayers, il entreprit la remise en état des vignes et fit d’importantes replantations. Graduellement, une part de plus en plus importante de la récolte fût mise en bouteilles, jusqu’à la totalité en 1961. L’intérêt qu’il porte à la vigne et au vin l’amène, en 1967, à quitter Paris pour s’installer définitivement à Meursault, dans cette bâtisse victorienne qu’il occupe encore aujourd’hui avec son épouse. Dominique Lafon prend la succession de son père en 1984, initialement avec son frère Bruno. A partir de 1987, il entreprend de rompre progressivement les contrats de métayages (baux de 9 ans). C’est un vigneron de principes, foncièrement attaché à la terre, à la qualité et au respect des sols, mais également aux traditions héritées de ses ancêtres. Il a souhaité prendre le virage du bio très tôt, renonçant rapidement aux désherbants et choisissant de renouer avec un travail des sols essentiel à l’expression des terroirs. Dominique Lafon fait même partie des précurseurs de la biodynamie en Bourgogne puisqu’il choisit de faire ses premiers essais dès 1995 avant de passer l’intégralité de ses 16 hectares en biodynamie en 1998.

fr_FRFrench
preloader